Coup de blues à Fludir

Tout semble lourd ce matin. Les corps comme les paysages. Certe le travail effectué est énorme et alimentera sans problème la vie de l'atelier, mais il y a des matins où je trouve que tout cela demande bien de l'énergie. Et ce jour de la Saint - Valentin - mais bon Dieu d'où sort cette invention créée pour me faire déprimer sous une chape de brouillard au fond de l'Islande... Je veux des noms, que les têtes tombent, je disais donc ce jour des amoureux est horrible. Etre un amoureux tout seul en Islande est certe une posture très conceptuel, mais aussi très con, tout court. J'avoue que c'est un peu de ma faute. Et merci ma douce Sylvie de me laisser vivre ces moments de désarroi pour que j'essaye de grandir encore un peu...